L'équilibre entre la justice sociale et le développement économique

Est-il possible de concilier justice sociale et développement économique ?
#1 Le développement économique peut-il se faire dans le respect de la justice sociale ?
#2 Quel est le rôle de l'État dans l'édification d'une société juste ?
#3 Quel est le rôle des organisations internationales dans l'édification d'une société plus juste ?
#4 Comment les entreprises peuvent-elles rendre le processus de mondialisation plus juste ?
#5 Comment la société covile peut-elle mettre de l'avant des principes de justice sociale ?

Le développement économique peut-il se faire dans le respect de la justice sociale ?

La disparité dans la répartition de la richesse témoigne des déséquilibres économiques et sociaux dans le monde. Les écarts de richesse sont autant existe aussi dans les pays riches. Les travailleurs qui s'occupent un emploi précaire sont souvent faiblement rémumérés et sans sécurité sociale. Dans les pays pauvres, la croissance économique bénificie souvent ceux qui ont les moyens d'investir dans des infrastructures de production. Ces personne sont minoritaires et ils ont des lien avec le pouvoir politique.

D'ailleurs, la productivité d'une entreprise dépend de l'efficacité des travailleurs. Quand ceux-ci n'ont pas une bonne condition de vie et de travail, leur productivité peut, en conséquence, diminuer. Ce phénomène nuit non seulement à l'individu, mais aussi à l'entreprise, car il doivent inverstir davantage pour offrive des meilleures conditions de travail.

Quel est le rôle de l'État dans l'édification d'une société juste ?

Depuis la seconde moitié du XXIe siècle, les États démocratiques des pays développés se sont donnés comme resposabilité de satisfaire les besoins de tous (services de santé, d'éducations, protection des droits et les libertés individuels), inclus ceux des personnes démunies. L'État redistribue donc une partie de ses revenus, entre autres en subventionnant des programmes qui assurent une sécurité sociale aux citoyens. Toutefois, depuis 1980, les États ont tendance à réduire leurs dans les sphères économique et sociale. Les inégalité ont ainsi augementé et se traduisent par une détérioration de condition de vie de la population. Il semble exister un lien entre l'augementation des maladie et le réduction des services de santé.

Afin de favoriser la justice sociale, l'État peut intervenir dans l'économie. Cependant, leurs interventions se limite au plan national. Les multinationals ont le pouvoir de s'occuper de la spère économique mondiale.

Quel est le rôle des organisations internationales dans l'édification d'une société plus juste ?

L'accélération du processus de mondialisation rapporte des profits qui ne sont pas redistribués équitablement. Certaines organisation veillent à ce que l'ensemble des populations et des États bénificient de la croissance économique. Ils encouragent des modes de production et de consommation qui respectent le capital humain. C'est-à-dire favoriser la coissance économique tout en réduisant les disparités.

Les programmes d'ajustement structurel (PAS), imposés par le FMI aux pays en difficulté ou qui connaissent une croissance économique et qui demandent de l'aide. Les PAS proposent souvent une réorganisation des structures économiques, accompagnée d'une réduction dans les dépenses publiques.

Comment les entreprises peuvent-elles rendre le processus de mondialisation plus juste ?

Dans un contexte de mondialisation, les capitaux transignent par delà les frontières, ce qui permet à certaines multinationales d'accroître leur pouvoir. En générale, les entreprisent choisissent de réduire leurs coûts de production en embauchant une main-d'oeuvre à bon marché et facilement disponible dans les pays où les droits des travailleurs ne sont pas forcément respectés. Cela peut entraîner les disparités socioéconomiques. Bien sûr, une hausse de la production génère les profits. À long terme, le rythme de production accru exerce une pression sur le capital humain, ce qui peut causer une dégradation des conditions de vie et davantage de problèmes.

Plusieurs acteurs attachés aux valeurs sociales (ONG, syndicat, groupes de consommateurs) exercent des pressions sur leur entreprises en leur demandant d'assumer leurs responsabilités en respectant des normes du travails et de s'assurer que leur croissance tient compte des principes de justice sociale. Les entreprises ont alors accepter de se soumettre à une vérification de leur code de conduite et de mettre sur pied des projets à portée sociale.

Comment la société covile peut-elle mettre de l'avant des principes de justice sociale ?

Devant le pouvoir des États et des entreprises, la société civile peut poser des gestes pour que le développement économique réponde davantage aux besoins de l'ensemble de la population. Entre autres, les altermodialistes contestent la tendance des États à s'en remettre à l'économie de marché pour définir leur politiques. Ils proposent des solutions alternatives à la mondialisation et revendiquent le respect des droits des travailleurs, une meilleure solidarité sociale ainsi que la protection de l'environnement. Ils croient que les pouvoirs politiques et finacier sont concentrés dans la mains d'un petit groupe formé de dirigeants d'entreprises et qu'il faut, par conséquent, redonner la parole aux citoyens.

Les ONG jouent un rôle important dans l'élaboration des politiques de réduction des disparités et de la pauvreté. En alimentant les débats internationaux, elles informent la population modiale sur les écarts entre les riches et les pauvres, par exemple. Elles veulent montrer que chaque individu peut participer au processus de développement économique. Elles élaborent des projet qui visent le développement communautaire et social, le plein emploi, l'égalité et le respect de l'environnement, afin d'influencer les États. Elles ont la confiance du publique et les États confient parfois la gestion des projets qu'elles proposent.